mercredi 21 décembre 2016

Pour Marie,
par Tété.

La mort n'est pas la fin,
elle est un commencement d'une autre manière.

Et les êtres aimés,
toujours seront autour de toi.

Dans chaque atome
de lumière,
se trouve l'essence et la beauté.

Et il n'y a rien de plus
qui se puisse dire.

Antonio Alvarez de Garmendia
0:47 hrs. (+1 GMT) 22/12/2016 Alcantarilla.
Europa, Monde

Traduction : Philippe Gastrein
Pas loin sous le même ciel...






Para maría, by tete. La muerte no es el final, es un comienzo de otra manera. Y los seres amados, siempre estaran entorno a ti. En cada atomo de la luz, esta la esencia y la belleza. Y no hay mas que pueda decir. Antonio Alvarez de Garmendia. 0:47 hrs. (+1 GMT) 22/12/2016 Alcantarilla. (Muy cerca de ti bajo el mismo cielo de Murcia) Europa. El mundo.

dimanche 9 mars 2014

Poème de la sortie

Je commence à marcher,
à cause de l'intolérance
et je respire la liberté,...
C'est simple
quand je vois la souffrance des autres,
je regarde les yeux de celle-là
qui est mesquine
et pour qui ils tuent,...

Parce que dans ce monde,
celui qui meurt en premier
et qui jamais ne tue,
c'est l'amour.

Je ne sais pas

les secrets de l'aube,
je sais seulement que je marche
foulant au pied l'intolérance
et cherchant le bonheur.

Antonio Alvarez de Garmendia.
19:32 08/03/2014
Murcia.
Europe.

Le Monde.

Trad: Philippe Gastrein
10:28 09/03/2014
Rodez
Europe
Le même monde.




Poema de la salida
by Eu Tete

Empiezo andar,
por la intolerancia
y respiro la libertad,..
Esto es simple
cuando veas el sufrimiento ajeno,
mira los ojos de aquel
que es pequeño
y al que matan,..

Porque en este mundo,
quien primero muere
y el que nunca mata,
es el amor.

Yo no sé
los secretos del amanecer,
solo sé que ando
pisando la intolerancia
y buscando la felicidad.

Antonio Alvarez de Garmendia.
19:32 08/03/2014
Murcia.
Europa.
El Mundo.

mercredi 5 mars 2014

Pourquoi je vais à Madrid?

Mon coeur blessé
me le dit aussi,
qu'il faut que je me lève et que je marche,...
Mais je suis si fatigué
que je ferme les yeux,
pour ne pas voir la douleur.

Vivre avec la peur
est un poison fou,
qui rend la vie
une dépossession pour posséder.
Mais les choses
sont toujours plus simples,
si tu préfères aimer.

Et je souhaite aller
parmi les gens,
faire un,
se réjouir des regards
et de la fierté
de ce ce qu'ils veulent changer.


Je préfère aimer

et je préfère aimer passionnément
et je préfère l'amour.
Parce que être heureux
et vouloir le bonheur,
ce n'est pas un rêve.
C'est ce que nous cherchons.


Antonio Alvarez de Garmendia.
2:59 (+1GMT) horas.
05/03/2014

(quatre jours avant d'aller marcher
jusqu'au 22 mars à Madrid) 
Murcia.
Europe.
 Le mundo.


Trad: Philippe Gastrein
9:24
05/03/2014
(En train d'essayer de changer le monde
à petits pas)
Rodez
Europe
Le même monde.




¿Por que voy a madrid?
by tete.

También me lo dice
mi corazón herido,
que me levante y ande,..
Pero estoy tan cansado
que cierro los ojos,
para no ver el dolor.

Vivir con miedo
es un veneno loco,
que hace que la vida sea
un quitar para tener.
Pero las cosas
siempre son más simples,
si prefieres amar.

Y quiero ir
entre la gente,
siendo uno,
disfrutando las miradas
y el orgullo,
de lo que quiere cambiar.

Prefiero amar
y prefiero amar
y prefiero el amor.
Por que ser felices
y querer la felicidad,
no es un sueño.
Es lo que buscamos.

Antonio Alvarez de Garmendia.
2:59 (+1GMT) horas.
05/03/2014
(cuatro días antes de ir andando
hasta el 22 de Marzo en Madrid)
Murcia.
Europa.
El mundo.


mardi 28 janvier 2014

Pour Miguel Romero Moro


Aux marges de la révolution
il y a un lieu,
où se trouve la paix,
où se trouve la vie
pure et fugace,
où se trouve le tout,
où se trouve le rien.

C'est pourquoi je sais,
que la mer t'accueillera.
C'est pourquoi je sais,
qu'aux continents tu t'uniras;
que je te prendrai dans une respiration,
flottant dans le cosmos,
où il n'y a pas de douleur,
où il n'y a que de la lumière.

C'est pourquoi je sais,
que tu seras heureux,
que tu seras chez les autres
et aussi en moi.
Dans le rêve des coquelicots
tu reposes aujourd'hui
mais tu vivras toujours,
et toujours tu vivras
en tout.
 
Antonio Alvarez de Garmendia
22:55 27/01/2014
Murcia,
Europa,
El mundo
 
Traduction: Philippe Gastrein
9:48
28/01/2014
Rodez
Europe,
Le même monde.

 
En los limites de la revolución
hay un lugar,
donde está la paz,
donde está la vida
pura y fugaz,
donde está el todo,
donde está la nada.

Por eso sé,
que el mar te acogerá.
Por eso sé,
que a las tierras te unirás,
que te respiraré a ti,
flotando en el cosmos,
donde no hay dolor,
donde solo hay luz.

Por eso sé,
que seras feliz,
que estarás en los demás
y también en mi.
En el sueño de las amapolas
reposas ahora
pero siempre vivirás,
y vivirás siempre,
en todo.


Antonio Alvarez de Garmendia.
22:55 27/01/2014
Murcia.
Europa.
El Mundo

lundi 13 janvier 2014

Poème du Silence





Je ne cède
Ni au poids des jours,
Ni aux amis mauvais amis,
Ni aux lents printemps.
Je ne cède
Ni parce que tu me cajoles,
Ni parce que tu m’érafles,
Ni sous la charge de ton venin.
Car je cherche la lumière
Et je cherche l’ombre.
Je cherche les mains
Qui accueillent l’horizon.

Antonion Alvarez Garmendia
13/01/2014
02 :52
Murcia
Europe
Le Monde

Taduction : Philippe Gastrein
13/01/2014
10 :20
Rodez
Europe
Le même monde

No cedo
al peso de los días,
a los malos amigos,
ni a las primaveras lentas.
No cedo
a que me beses,
a que me roces,
a tomar tu veneno.
Porque busco la luz
y busco la sombra.
Busco las manos
que acojan el horizonte.


Antonio Álvarez Garmendia.
13.01.2014
02:52 horas.
Murcia.
Europa.
El mundo.

lundi 30 décembre 2013

poème de l'essence



Le beau poids de ton corps
me fit savoir,...
qu'il n'y avait pas de fin,
que nous étions et sommes un,
qu'aussi loin sont
les montagnes,
qu'aussi profondes sont les mers
je serai ici
et retournerai avec toi
dans un lieu,
où la faim
et la solitude
n'existent pas,
dans le lieu où
vont dormir les rêves...

C'est pourquoi il n'y a pas d'horizon,
ni nuages,
ni distances,
ni plans,
ni mondes,
qui puissent séparer
ce qui est un,...

Comme toi et moi,
deux atomes fous
toujours en fuite.
Comme toi et moi
se tournant et se retournant
jusqu'à une nouvelle fin.

Antonio Alvarez de Garmedia

21:01
29/12/2013
Murcia
Europe
Le Monde



Pour Gilles
qui vient de mourir
en disant à son fils et sa femme
que nous ne mourrons pas
tant que nous nous souvenons dans l'amour.



Traduction: Philippe Gastrein
10:41
30/12/2013
Archena
Péninsule ibérique
le même monde.

El bello peso de tu cuerpo
me hizo saber,..
Que no habia final,
que éramos y somos uno,
que por lejos que estén
las montañas,
que por profundos sean los mares
allí estaré
y volaré contigo
a un lugar,
donde el hambre
y la soledad
no existen,
al lugar donde
van a dormir los sueños,..

Por eso no hay un horizonte,
no hay nubes,
no hay distancias,
no hay mapas,
no hay mundos
que puedan separar
lo que es uno,..

Como tu y yo,
dos átomos locos
en fuga constante.
Como tu y yo
dando vueltas,
hasta un nuevo final.


Antonio Alvarez de Garmendia.
21:01 (+1GMT)
29/12/2013
Murcia.
Europa.
El Mundo.


Para Gilles que acaba de morir
y diciéndole a su hijo y a su esposa,
que no morimos
mientras nos recuerden con amor.

tete

samedi 23 novembre 2013

Poème de celui qui réveille


Debout frère,
Gravit la montagne,
Regarde les nuages
Qui sont aussi à toi…
Debout frère
Et regarde.

Debout sœur,
Le feu brule déjà,
Tes bras sont comme le ciel,
Debout,
Debout,
Et ne dors plus.
Les étoiles brillent dans le ciel,
Elles attendent que tu les cueilles.

Et que la révolution,
Que le changement
Fasse que nous nous voyons,
Sans rancœur,
Sans peur,
Tu seras là,
Où l’infini devient fini,
Là où commence le rire
Et s’arrête la douleur.


Antonio Alvarez de Garmendia
21:17
17/11/2013
Murcia
Europe
Monde

Traduction:
Philippe Gastrein
21:58
23/11/2013
Rodez
Europe
Le même monde 


Poema del que despierta,
by tete.

Levanta hermano,
sube la montaña,
mira las nubes
que también son tuyas,..
Levanta hermano
y mira.


Levanta hermana,
el fuego ya arde,
tus brazos son como el cielo,
levanta,
levanta
y no duermas mas.
Las estrellas brillan en el cielo,
esperando que las cojas.

Y cuando la revolución,
cuando el cambio
haga que nos miremos,
sin rencor,
sin miedo,
estarás allí,
donde el infinito se hace finito,
donde empieza la risa
y termina el dolor.


Antonio Alvarez de Garmendia.
21:17 (+1GMT) horas
17/11/2013
Murcia.
Europa.
El Mundo.