mardi 22 octobre 2013

Poème de celui qui cherche



Je cherche mais ne trouve pas,
Je cherche mais ne me trouve pas,
je suis perdu...

Les jours courrent
devant le froid,
le visage sec et la langue agitée,
la fumée s'échappe comme toujours,
les étoiles ne sont pas plus proches
et si je regarde en arrière,
je vois les grains de sable vaincus,
le temps définitif,
je vois et je vois
et je ne me trouve pas.

Une main tremblante,
sur le corps inconnu.
Les lèvres pour mordre en feu,
nus dans ton souvenir.
C'est pourquoi,
les mouettes ne sont pas blanches
et les étoiles,
continuent à être si loins...

Antonio Alvarez de Garmendia
3:27
22/10/2013
Murcia
Europe
Le Monde

Traduction: Philippe Gastrein
9:51
22/10/2013
Archena
Europe
Le même Monde
Poema del que busca,
by tete.

Busco y no encuentro,
busco y no me encuentro,
perdido estoy,..

Corrían los días
de antes del frío,
la cara seca y la lengua inquieta,
el humo escapa como siempre,
las estrellas no están más cerca
y si miro atrás,
veo las arenas vencidas,
el tiempo definitivo,
veo y veo
y no me encuentro.

Una mano temblorosa,
sobre el cuerpo desconocido.
Los labios de morder encendidos,
mudos en tu recuerdo.
Por eso,
las gaviotas no son blancas
y las estrellas,
continúan lejos,..


Antonio Alvarez de Garmendia.
3:27 (+1GMT)
22/10/2013
Murcia.
Europa.
El mundo.

mercredi 9 octobre 2013

Poème rebelle

Quand je marche,
quand je chemine à l'arrière ma vie bancale,
Les hurlements profonds,
ma misère
et les nuages m'achèvent / me couronnent,
et les étoiles saluent mon passage
et toi,
qui me regardes
et ne sais pas qui je suis.



Je suis ton envers et ton revers,
cette goutte dont tu es issu,
un verre où s'abreuver.

Et les nuages me couronnent,
et les étoiles illuminent...
Stop!
Et maintenant rentrons,
pas à pas,
le chemin se fait
maintenant...

Antonio Alvarez de Garmendia
15:45 09/10/2013
Murcia.
Europa.
El Mundo.

Traduction: Philippe Gastrein
16:08 09/10/2013
Rodez.
Europe.
Monde.



Cuando ando,
cuando camino dejo tras de mi la vida rota,
los profundo aullidos,
la misera mia
y las nubes me coronan,
y las estrellas saludan mi paso
y tu,
que me miras
y no sabes quién soy.

Soy tu inverso y reverso,
esa gota de la que estas echa,
un vaso del que beber. 

Y las nubes me coronan,
y las estrelas iluminan,.. 
Stop!
Y ahora volvemos,
paso a paso,
el camino se hace
ahora,.. 

Antonio Alvarez de Garmendia.
15:45 09/10/2013
Murcia.
Europa.
El Mundo.