dimanche 2 juin 2013

Poème de la fugue constante

Depuis le commencement,
les étoiles sont proches,
les nuages sont doux,
la vie continue.
Depuis ma solitude,
j'en vois d'autres,
je fais un avec elle
et une caresse,
c'est le pont vers la liberté.
Depuis le commencement
de cette immense solitude,
je pleure, je ris,
je dors et je marche
sans savoir où je vais.




Antonio Alvarez de Garmendia.
26.03.2013
17:14


Traduction:
Philippe Gastrein
02.06.2013
18:57

Poema de la fuga constante,
By tete.

Desde el precipicio,
Las estrellas estan cerca,
Las nubes son suaves,
La vida continua.
Desde mi soledad,
Veo otras,
Soy uno con ella
Y una caricia,
Es el puente a la libertad.
Desde el precipicio
De esta inmensa soledad,
Lloro, rio,
duermo y ando
Sin saber donde voy.


Antonio Alvarez de Garmendia.
26.03.2013
17:14 hrs.

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